2ème journée du Festival Sciences Frontières

Ouf ! Le grand jour est passé… Benjamin, un peu décontenancé au début, a tenu la conférence avec brio !

Avec les autres conférenciers, ils ont abordé les « mythes et légendes du consommateur ». On regrettera d’abord que le « point de vue de béotien » assumé par le journaliste s’est focalisé sur le prix. Le bio plus cher àEternel débat qui bien sûr mérite des piqûres de rappel (euh… ca coûte combien la santé àEt la dépollution des nappes phréatiques…?) mais qui a phagocyté d’autres aspects tout aussi intéressants.

A part le prix, d’autres freins au passage d’une consommation responsable:

  1. l’habitude (qu’on pourrait associer à la facilité, la paresse)
  2. la méfiance (face à la récupération, les gens éprouvent une certaine lassitude)
  3. la notoriété (le symbole en quelque sorte. Et il semble que ce soit le critère le plus important. Il faut indéniablement éprouver du plaisir à consommer autrement)
    Quand je parle de consommation, je n’entends pas que l’achat.
    Ainsi, de même que j’ai plaisir à acheter une belle chemise équitable en coton bio, avec une histoire -j’aime qu’on me raconte l’histoire de ce que j’achète…- j’éprouve une satisfaction à fabriquer ma lessive avec un peu de savon de Marseille.

Allez, il faut y retourner, car nous avons d’autres personnes à prendre en photo sur notre beau vélo baptisé « le cycle éthique ».

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