C’est par ces deux mots que Dieu créé le monde.
« C’est du luxe ! »
C’est par ces mots que l’on disqualifie un excès, un orgueil ou tout simplement une pulsion idiote…
Baptiste RABOURDIN, co-fondateur de la SCOP eco-sapiens
C’est par ces deux mots que Dieu créé le monde.
« C’est du luxe ! »
C’est par ces mots que l’on disqualifie un excès, un orgueil ou tout simplement une pulsion idiote…
A peine rentré de vacances que je m’enfile la saga anti-FNE publiée sur le blog de Fabrice Nicolino.
J’ai d’ailleurs pu me familiariser avec le style pendant ces douces vacances en dévorant « la faim la bagnole le blé et nous » qui est une dénonciation des biocarburants. Ceux-là même qu’il faut s’efforcer d’appeler agro-carburants… car il n’y a rien de bio là-dedans.
Souvent, après des débats sur le développement durable ou l’environnement, il arrive qu’on parle du coût de telle catastrophe ou telle disparition.
Le fameux rapport de Sir Nicholas Stern estime par exemple 5 500 milliards d’euros le coût du changement climatique. Il existe une bourse et un marché du carbone (reventes de droits à polluer).
Et hop un de plus !
C’est l’histoire d’un poisson, le panga, qui est la star des réseaux écolos. A l’origine un reportage diffusé à la télévision qui dévoile l’origine de ce sympathique poisson-chat.
La définition technique de la « récession » est qu’il faut enregistrer deux trimestres consécutifs de croissance négative. Or, si la France a vu cette sacro-sainte croissance à -0,3% au second trimestre, elle a vu celle-ci redevenir positive à 0,1% ce troisième trimestre.
Tiens… la question de la démographie revient à la mode dans le débat écologique.
Halte à la surpopulation, ai-je lu sur quelques sites peut-être dotés des meilleures intentions, mais aux propos franchement fallacieux.
J’entends à la radio qu’en Chine, suite au passage mouvementé de la flamme olympique, les entreprises françaises sont appelées au boycott. Ainsi Carrefour qui possède plus de 100 hypermarchés dans le pays (à la croissance exemplaire…) serait visé en première ligne.
L’année dernière, nous n’avions pas été intégré au recensement officiel de la semaine du développement durable car notre action n’était pas assez ponctuelle.
C’est vrai que c’est toujours amusant ces concepts de « journée de la femme », « semaine du développement durable« , « année de la patate » etc qui effectivement ne doivent pas durer. Il est évident pour nous que ce que l’on appelle « développement durable », ce devrait être tous les jours.
Un article de Novethic (qui parle de nous) relate une petite polémique sur le terme « consom’acteur ».
Polémique suscitée au départ par deux sites homonymes : consomacteurs.com et consom-acteur.com !