A Primevère, on travaille et tripalium

toms4mJ’ai déjà dit tout le bien que je pense du salon Primevère dans le billet précédent. Il y tant d’acteurs, pour certains historiques, tant de nouveaux (tout aussi prometteurs d’ailleurs) que l’on est toujours un peu frustré de ne pouvoir évoquer tout ce beau monde ici réuni.

Réuni pour le même credo: les alternatives existent ! Et en plus, elles sont utiles, ludiques et conviviales.

Aujourd’hui, j’ai été interpellé par ce drôle d’intitulé: « fabriquer soi-même son éolienne« . En tout cas les pales ! Et à la rigueur le mat. Pour le moduleur et la batterie, il va falloir l’acheter…

L’audacieuse structure qui montrait ainsi ces drôles d’éoliennes s’appelle, preuve que ses fondateurs ne manquent pas d’humour, tripalium. Tripalium comme « trois pales » dans un latin approximatif… Mais surtout « tripalium » comme le fameux instrument de torture qui a donné notre mot actuel travail.

En discutant avec l’un des associés, j’ai donc appris que ces petits engins d’apparence artisanale pouvait facilement fournir 300 W. Reliable au réseau EDF, légal puisque prévu pour une hauteur de 14m maximum, c’est un pas de plus vers l’autonomie énergétique (en tout cas électrique) tout en s’amusant. Quel malheur que je sois si peu bricoleur, sinon j’aurais gagné une sacrée fierté à arborer mon éolienne et ses trois pales en bois !

Mais je ne désespère pas. Je vais aller à l’atelier proposé par Tripalium dès demain.

Le site internet de Tripalium

Le récit d’un journaliste de Terra eco qui a fait le stage

1 réflexion au sujet de « A Primevère, on travaille et tripalium »

Laisser un commentaire