Je vous assure que la question est sincère. Elle l’est d’autant plus que mon respect, ma sympathie et mon enthousiasme pour le mouvement Colibris est fort comme un roc !
Pour ceux qui auraient raté le train, je tente un bref résumé.
Baptiste RABOURDIN, co-fondateur de la SCOP eco-sapiens
Comme promis, voici le compte rendu de notre conférence du 3 Décembre autour de la question « Y a-t-il un business model dans la décroissance ? »
Conférence est un bien grand mot puisque l’idée était bien de profiter de la convivialité et de la simplicité du lieu (l’Equitable Café à Marseille) pour pouvoir discuter décontracté.
C’est à dire que je suis un écolo, qui mange bio et vis sans voiture dans la ville, qui, selon les dernières études, a une empreinte écologique paradoxalement inférieure à celle de la campagne. Ca s’appelle même l’éco-densité.
Vendredi 3 décembre 2010, nous allons fêter cela. C’est à dire que nous allons d’abord examiner les comptes en présence des sociétaires présents. Puis nous allons voter les trucs sérieux. Puis nous irons au café. Plus exactement à l’équitable café.
Après le salon primevère, je me suis dit : pourquoi ne pas aller voir Ambert ?
Située à mi-chemin entre Saint-Étienne et Clermont-Ferrand, c’est une ville méconnue (bien que sous-préfecture du Puy-de-Dôme) qui doit sa survie consonante à la fourme. La fourme d’Ambert, n’est pas ce disque enveloppé de cellophane que l’on trouve dans les grandes surfaces. C’est un fromage tout en hauteur; la ville a même sa mairie en forme de fourme. Enfin, c’est un hasard…
Contrainte du jour: un billet qui relie 3 homonymes qu’a priori rien ne rassemble.
Seconde contrainte du jour: donner un avis sur The Film dont la pr(h)omo est aussi pachydermique qu’une épopée homérique. Un avis qui ne tombera pas dans trois écueils à savoir:
Amis lecteurs et amoureux du livre voici une nouvelle maison d’éditions fort ingénieuse.
Deux livres seulement pour l’instant mais quels titres pour déflorer les librairies !
Abordant la question écologique sous l’angle de la philosophie, les deux ouvrages, publiés il y a à peine une semaine, permettent de revenir à la racine de l’écologie.
C’est par ces deux mots que Dieu créé le monde.
« C’est du luxe ! »
C’est par ces mots que l’on disqualifie un excès, un orgueil ou tout simplement une pulsion idiote…