Pourquoi c’est bien de travailler à eco-SAPIENS

Editions pour penser à l'endroit sur le vélo eco-SAPIENSIl paraît que le storytelling est très en vogue dans les grandes entreprises. On raconte des histoires, on fabrique des légendes de toute pièce pour valoriser ou redorer l’image d’une marque, d’un produit d’une personne.

Avant, la publicité était l’espace dédiée à la fabulation des marchands. Aujourd’hui la publicité n’a plus cette pudeur de s’annoncer : le produit se confond avec elle.

La fiction et la réalité font un. Le produit n’a plus d’histoire. Il est sa publicité. Discours et objet sont confondus.

Bref la publicité c’était la manipulation. Aujourd’hui, avec le storytelling, on manipule mais… sans les mains.
Et on ne sent rien…

Alors on va faire le storytelling d’eco-SAPIENS. Pour cela, on ne parlera pas de l’origine mais on remontera le temps. Partons du plus récent (aujourd’hui) et nous verrons si cette merveilleuse histoire aboutira à sa genèse.

En tant qu’eco-SAPIENS, nous sommes amenés à nous promener de salons en salons. Comme nous sommes écolos, nous ne prenons jamais, ô grand jamais ! ni avion ni voiture. Et parfois, comme nous nous rappelons que le train est nucléaire, nous allons carrément aux salons à bicyclette. Notre vélo vert, grâce à son fanon aérodynamique, nous propulse ici à Lyon, là à Paris. Au gré du vent et de la nationale 7.

L’année dernière, ce fut plus rude. Il fallut aller jusqu’à Die pour un immanquable rendez-vous de l’écologie. Cette ville, c’est le repère absolu des alternatifs. Après quelques cols, nous voici aimablement accueillis par une de nos boutiques. Car nous entretenons de si bonnes relations avec nos clients qu’elles nous offrent volontiers gîte et couvert.

Avec nos merveilleux hôtes, autour d’un verre de clairette, nous avons parlé du loup. Ce loup qui parcourt lui aussi les Alpes et dont l’aperception récompense le plus téméraire des randonneurs.

Quitter ce lieu fut comme une déchirure. La neige, la montagne, et les loups qu’on imagine. Qu’on ne verra hélas ! jamais.

Et puis…

Et puis nos hôtes m’ont envoyé cette photo. Prise il y a 3 jours. Fraîche comme la neige.

Alors, promis, on reviendra. Et nous aussi nous verrons le loup. Assouvissant notre besoin de nature sauvageloup-y-es-tuLe loup !L’avez-vous vu ?

Et saurez-vous démêler le vrai du faux dans cette histoire. Parce que promis… presque tout est vrai.

Merci à Albert et Gaëtan pour la photo sur le vélo. Et surtout mille mercis à Mana Terra que nous adorons.

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