Attention, ceci n’est pas un publi-reportage !
Cette précision liminaire effectuée, il me faut encore faire une digression qui portera sur quelque chose que je connais particulièrement bien… moi !
Baptiste RABOURDIN, co-fondateur de la SCOP eco-sapiens
C’est le titre de la deuxième conférence-débat dite « La Canalisation ».
Évidemment, on revoit à Dali qui faisait sa publicité pour des nouilles. Mais à l’époque, je ne sais pourquoi, c’était amusant.
« Parlez de décroissance aux Chinois et aux Indiens et ils vont rire aux éclats »
« Comment osez-vous parler de décroissance quand la moitié de l’humanité vit dans la misère ? »
« C’est facile de prôner la décroissance quand on vit confortablement »
Dans la blogosphère écolo, le blog ecolo-info est du genre incontournable.
D’abord parce qu’un billet par jour, c’est une prouesse. Mais surtout parce que c’est toute une équipe qui rédige ce blog. Une équipe constituée de profils divers: du monde marchand, du monde associatif, des indépendants de passage, des philosophes, des pragmatiques, et aussi des geek !
Il paraît que le storytelling est très en vogue dans les grandes entreprises. On raconte des histoires, on fabrique des légendes de toute pièce pour valoriser ou redorer l’image d’une marque, d’un produit d’une personne.
L’aéorport de Nantes vous connaissez ?
En 1967, l’actuel aéroport situé un peu au Sud, prévoit une hausse de trafic tel qu’il faudra construire nu autre terminal, bien plus vaste. On envisage 7 millions de passagers pour l’an 2000.
En balade dans les jardins ethno-botaniques de Salangon dans le cadre des Rendez-vous aux jardins le week-end dernier, j’ai découvert un stand commercialisant des plants de stevia.
La stevia rebaudiana est cette plante originaire d’Amérique du Sud réputée pour son pouvoir sucrant et utilisée comme tel depuis des siècles par les indiens Guarani. De par ses propriétés (un pouvoir sucrant nettement supérieur à celui du sucre, sans les effets sur le taux de glucose dans le sang notamment), elle est un édulcorant naturel très prisé.
J’ai toujours rêvé d’un livre qui ne dresserait des portraits que d’inconnus cotoyés à peine quelques minutes. On échange quelques mots dans un train, on créé un fort sentiment de sympathie au détour d’une rue. On se dit que celui ou celle-ci aurait pu être l’alter ego de toujours. Mais on sait aussi que cette rencontre s’évanouira dans le temps qui vient. On accroche sur un papier, éventuellement, une adresse ou un numéro, se promettant d’écrire une lettre dès que possible.
J’ai déjà dit tout le bien que je pense du salon Primevère dans le billet précédent. Il y tant d’acteurs, pour certains historiques, tant de nouveaux (tout aussi prometteurs d’ailleurs) que l’on est toujours un peu frustré de ne pouvoir évoquer tout ce beau monde ici réuni.